Copper
Dans le New York du 19ème siècle, les aventures d'un jeune flic irlandais cherchant à découvrir la vérité sur la disparition de son épouse et la mort de sa fille. Son amitié avec deux compatriotes de la Guerre Civile, le fils d'un riche industriel et un médecin afro-américain, l'amène à côtoyer aussi bien ...
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Terminée | Américaine | 60 minutes |
Historique, Action, Drama | BBC America | 2012 |
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2.07 - L'espoir Est Éphémère
The Hope Too Bright to Last
L'inspecteur Kevin Corcoran arrive à une impasse dans son enquête. Brendan Donovan fait appel à Eva Heissen pour obtenir un peu plus de pouvoir.
Diffusion originale : 04 août 2013
Diffusion française :
04 août 2013
Réalisat.eur.rice.s :
Scénariste.s :
Guest.s :
Copper, c'est vraiment une grosse série de fils de pute... et surtout cet épisode. Si dans la saison un, cette absence de séparation entre bien et mal peinait à convaincre, cette seconde saison devient petit à petit un putain de bonheur à suivre.
Et ouais, Kevin, tu n'es pas une oie blanche, malgré tes airs de chevaliers servants, mais bien un enculé comme les autres. Copper, c'est la dualité de Young version petit écran, avec tellement de storylines que cela vire à l'orgie narrative, façon partouze.
Pourtant, c'est très bien équilibré et seul l'absence de progression dans l'histoire de meurtre déçoit légèrement. Il ne manque pas grand-chose pour que la série devienne énorme, comme le manque de présence d'Harveford.
Les scènes entre les Morehouse père et fils sont juste énormes, pleines de haine et de rancoeur, comme si la seule manière pour deux salopes de coexister était de s'affronter perpétuellement. Là, franchement, j'ai pris mon pied sévère.
Même Donovan se révèle être une grosse merde guidé par une soif de pouvoir flagrante. New-York apparait comme une utopie impossible entre des peuples venus d'Europe que tout sépare.
Bordel, j'aime cette série, et pas seulement parce que le new-york de 1890 ressemble à Clermont-Ferrand en 2013, mais parce que les scénaristes ont de belles intentions, celle de dépendre un univers de salopard, sans héros pour montrer la lumière. Il ne reste plus qu'à plonger dans la fange en se pinçant le nez.